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Le laboratoire d’idées de la reconstruction écologique et républicaine

Presse

Les Échos Start

80% des jeunes salariés du secteur pétrolier et gazier prêts à se reconvertir

Comment les salariés de l’industrie française du pétrole et du gaz réagissent-ils face à la succession de crises qui frappe le secteur ? C’est ce qu’ont voulu analyser Les Amis de la Terre, l’Institut Rousseau et l’Institut Veblen en interrogeant 266 personnes en majorité des cadres et des ingénieurs, travaillant soit dans une entreprise parapétrolière ou paragazière (Technip, Axens, Trapil…), soit dans des entreprises de production et de fourniture d’énergie (TotalEnergies , Engie…). Lire la suite sur Les Échos Start.

avril 2022

Metrotime

Le gigantesque impact du bitcoin et des cryptomonnaies sur l’écologie

Malheureusement pour la planète, l’engouement pour les cryptomonnaies ne devrait pas s’arrêter de sitôt. On apprenait en janvier dans le dernier baromètre mensuel d’ING qu’en Belgique, un investisseur de moins de 45 ans sur quatre considérait les cryptomonnaies comme le meilleur investissement de 2022. Alors est-il possible d’inverser cette tendance et que les cryptomonnaies deviennent moins énergivores et plus respectueuses de l’environnement ? Selon l’Institut Rousseau en France, c’est une illusion. « Il est complètement illusoire de croire que, à la différence d’autres crypto-actifs, le bitcoin soutienne un jour une économie verte ou reverdie et encore moins un recentrage local des activités humaines diminuant leur empreinte environnementale », estime l’Institut dans l’un de ses rapports sur le bitcoin. « Ce qui apparaît comme un ‘progrès’ technologique n’est pas bon ou mauvais par nature, il le devient à l’usage. Si un produit s’avère toxique, il convient d’en interdire ou pour le moins d’en limiter l’usage. Douze années de retour sur le bitcoin nous enseignent qu’il est une impasse écologique, monétaire et sociale », conclut l’Institut Rousseau. Lire la suite sur Metrotime.

avril 2022

Les Échos

Climat : le lourd prix à payer par la France pour atteindre la neutralité carbone en 2050 Une étude de l'institut Rousseau avertit les candidats à la présidentielle du « surinvestissement » à consentir pour atteindre la neutralité carbone en 2050. Une facture de 57 milliards d'euros par an.

Pas moins de 182 milliards d’euros par an. C’est le prix que va devoir consentir la France si elle veut atteindre la neutralité carbone en 2050 comme elle s’y est engagée, selon une étude que rend publique mercredi l’Institut Rousseau . Ce jeune laboratoire d’idées – il a été créé en 2020 par l’économiste Gaël Giraud – inclut dans ce montant quelque 57 milliards d’euros d’investissement supplémentaires, publics et privés, qu’il faudra, selon ses experts, sortir pour répondre à cette grande ambition. « Beaucoup parlent d’écologie, mais personne n’évoque, ou sinon de manière très partielle, les moyens qu’il faut mettre en face de leurs objectifs », juge Nicolas Dufrêne, le directeur de l’institut Rousseau. L’Etat, lui-même, n’a pas chiffré le coût de ceux qu’il s’est fixé pour réduire les émissions de la France, que ce soit dans la Stratégie nationale bas-carbone (SNBC) ou dans la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), fait-il également valoir. Lire la suite sur Les Échos.

avril 2022

France Inter

Le Grand Face-à-face XXL à Rouen, avec Pierre-Henri Tavoillot et Chloé Ridel

Le Grand Face-à-face XXL, en public depuis Rouen, avec le philosophe Pierre-Henri Tavoillot et Chloé Ridel, directrice adjointe de l’Institut Rousseau. Débat autour de l’état de notre démocratie : est-ce un modèle à réinventer ? Lire la suite et écouter le podcast sur France Inter.

avril 2022

Usbek et Rica

182 milliards d’euros par an jusqu’en 2050 : le montant de la décarbonation de la France « 2% pour 2°C ! »

Avec sa « Stratégie Nationale Bas Carbone » (SNBC), la France a défini la trajectoire de décarbonation de son économie, secteur par secteur, dans le but d’atteindre la neutralité carbone en 2050. Mais si cette stratégie, comme d’autres études, s’attache à décrire la manière de mener cette transition, aucune structure, gouvernement ou parti, n’avait encore répondu précisément à la question de son coût et de son financement. Il est rare de fixer des objectifs et développer des projets sans jamais se poser la question des moyens. C’est pourtant exactement ce qu’il se passe en matière de climat : les politiques menées jusqu’à présent ont essentiellement consisté à annoncer des objectifs toujours plus ambitieux, accompagnés de quelques lois sectorielles, mais sans vision d’ensemble et surtout avec très peu — voire pas — de moyens budgétaires et financiers. Ce double discours a donc un impact direct sur notre réalité : nos émissions baissent trop lentement et la désillusion est au rendez-vous sur notre capacité à réussir la transition bas-carbone. Un travail de grande ampleur, indispensable à la réussite de la stratégie climatique et au débat démocratique, était donc nécessaire pour recenser les leviers de décarbonation et y associer un chiffrage des investissements requis. Et l’Institut Rousseau l’a mené. Le résultat : un plan d’action chiffré, composé de 33 leviers de décarbonation tous secteurs confondus (transport, industrie, agriculture, bâtiment, production d’énergie, déchets, etc.) déclinés en 73 mesures de politique publique (subventions, crédits d’impôt, réformes fiscales, etc.). Lire la suite sur Usbek & Rica.

avril 2022

Marianne

« Garantir l’emploi est une condition de la reconstruction écologique » Tribune

Le mouvement « Le Vent du Changement » organise, ce samedi 19 mars, une grande journée de mobilisation et de réflexion intitulée « Garantir l’emploi, reconstruire la France », en partenariat avec le média « Le Vent Se Lève » et les laboratoires d’idées Hémisphère gauche et l’Institut Rousseau. Ils expliquent le sens de leur démarche dans une tribune. Lire la suite sur Marianne.

avril 2022

Agir pour le climat

Entretien avec Oriane Wegner : « Investir 2% du PIB pour rester sous la barre des 2°C »

Alors que le dernier rapport du GIEC a réaffirmé récemment la nécessité d’agir rapidement et massivement contre le réchauffement climatique, l’Institut Rousseau publie le rapport « 2 % pour 2 ° » estimant le montant des investissements nécessaires pour atteindre la neutralité carbone en 2050. Combien cela coûte exactement, et qui doit prendre en charge ces investissements ? Oriane Wegner, membre de l’Institut Rousseau, co-autrice du rapport et spécialiste de régulation financière, nous éclaire. Lire la suite sur Agir pour le climat.

avril 2022

L'Obs

Faut-il changer la manière d’élire le président de la République ?

Favorisant les extrêmes et le « vote utile », le scrutin uninominal à deux tours pourrait-il laisser la place au jugement majoritaire, utilisé lors de la Primaire populaire fin janvier ? Les avis de Chloé Ridel, présidente de l’association Mieux Voter et directrice adjointe de l’Institut Rousseau, et du sénateur (LR) François-Noël Buffet. Lire la suite sur L’Obs.

avril 2022

Libération

La garantie d’emploi, solution miracle contre le chômage ?

L’idée n’est pas tout à fait neuve, ni française : une de ses porte-parole les plus influentes est l’économiste américaine Pavlina R. Tcherneva, conseillère de Bernie Sanders, dont l’essai la Garantie d’emploi : l’arme sociale du Green New Deal est parue en France au printemps 2021 (La Découverte). Dans un article publié en mai, l’économiste Michel Husson rappelait que la garantie d’emploi «s’inscrit dans une longue tradition ouverte par le New Deal de Roosevelt» et qu’un de ses grands promoteurs fut un disciple de Keynes, Hyman Minsky, décédé en 1996. Le concept est également défendu par des think tanks comme Intérêt général, qui y voit une «solution zéro chômeur», ou l’Institut Rousseau et Hémisphère gauche, qui convoquaient l’année dernière un sondage OpinionWay donnant 79% de sondés favorables à l’instauration d’une garantie emploi dans les secteurs écologiques pour les chômeurs de longue durée. Lire la suite sur Libération.

avril 2022

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